Éloge des romances de Noël et des bons sentiments (Partie 2)

Par Jacques Roux
La romance de Noël, type de téléfilms produits essentiellement aux US et au Canada, serait-elle un simple produit de marketing, une occasion de faire, à moindre frais, du « business » sur le dos de téléspectateurs pas trop exigeants, ni certainement très futés ? C’est en tout cas la thèse défendue dans un article de TeléCableSat (n°1599 du 26/12/2020) par un certain Cédric Melon. Nous avons dans notre précédente contribution observé que le « business » est partout à la télévision (et pas seulement à la télévision d’ailleurs, nous conseillons à nos lecteurs de s’intéresser aux épisodes médiatiques qui entoureront bientôt l’attribution du prix Goncourt !) et que les critiques de M. Melon visant des tournages à l’économie, avec entre autres l’emploi d’acteurs « inconnus » ou « en bout de course », sinon « has been », étaient pures stupidités. Le casting n’était pas seul à être visé dans cet article : d’une façon globale, pour M. Melon, la qualité de ces téléfilms est « discutable ». Puisque cet article, qui se contentait de jugements négatifs péremptoires, n’a pas ouvert la « discussion » qui paraissait promise, nous nous proposons de le faire à sa place. Parce qu’il y a beaucoup à dire sur ces téléfilms de « divertissement », dont les subtilités ont peut-être échappé à notre éminent critique.
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